E2 - Prévention Blessure au Travail : Essayez notre nouveau logiciel d'analyse de risques ergonomiques au travail sans frais ni engagement.
Malgré toutes les avancées en matière de santé et sécurité au travail, le nombre de blessures au Québec encaisse une hausse légère mais constante depuis 2012. Des données qui alarment à la CNESST, SST et CSST. Dans un contexte de mondialisation où la compétition est féroce, comment les gestionnaires peuvent-ils mieux s'outiller pour prévenir les blessures au travail significativement?
En premier lieu, il est important de définir ce qu'est un accident de travail. Brièvement, il s'agit d'une lésion occasionnée hors de tout doute par l'exécution de tâches sur le site du travail. En d'autres mots, l'employé qui exerce des activités professionnelles à son poste de travail souffre de douleurs au point où celles-ci viennent compromettre sa capacité à réaliser ses tâches. Tous les accidents ne sont pas forcément brutaux et soudains car la majorité d'entre eux prennent des année avant que les symptômes ne se manifestent.
Selon le Code du Travail, chaque employeur est tenu responsable devant la Loi de prendre des mesures nécéssaires pour protéger la santé physique mais aussi mentale de ses employés. A défaut de disposer d'un plan de santé et sécurité au travail valable, chaque organisation s'expose à des poursuites pénales, des amendes et/ou des suspensions de permis/licences d'exploitation. Vous pourriez même voir des services publics suspendus (poste, messagerie, électricité, téléphone, etc.) si vos postes de travail ne sont pas sécuritaires. Idem concernant des fournisseurs.
Mais par dessus tout, la prévention de blessure au travail c'est de l'argent. Beaucoup d'argent qui peut faire une énorme différence quant à la pérennité d'une compagnie ou d'une PME à long terme (voire la longévité même des dirigeants aux commandes de celle-ci). User les capacités physiques et psychologiques de sa main-d'oeuvre coûte cher.
Dans un premier temps, chaque membre du personnel manquant nécéssite un remplacement. Cela impose de la dotation (recrutement), de la formation et une perte de productivité à court terme. Il n'est pas garanti non plus de pouvoir disposer de remplaçants temporaires car plusieurs domaines comme l'aviation, l'agro-alimentaire, la fabrication de meubles, etc. font face à des pénuries de candidats très criantes.
Deuxièmement, votre contribution à l'assurance-santé augmentera sans cesse par rapport au nombre de blessés et/ou personnes en congé de maladie (cela inclut les cas d'épuisement professionnel). Si la situation ne se résorbe jamais, les hausses de vos cotisations pourraient atteindre un niveau stratosphérique.
Finalement, les inspections (CSST, SST, etc.) peuvent vous rendre la vie très difficile et coûter de l'argent tant en temps investi par les administrateurs pour satisfaire aux requêtes des inspecteurs mais aussi en réaménagement ergonomique et prévention d'accident de travail. Bref, prévenir coûtera évidemment moins cher que guérir.
Souvent, les leaders moins expérimentés mettent l'emphase pour prévenir les accidents "spectaculaires" (voire mortels) au détriment des autres petits détails derrière de bonnes habitudes ergonomiques. Or, la forte majorité des invalidations tant dans les secteurs de l'agriculture, de la manipulation industrielle ou de la production manufacturière sont causées par des blessures qui ne résultent pas de traumatismes violents. En effet, tandis que beaucoup craignent des chutes brutales, des chocs ou des coupures, ce sont surtout les petites lésions aux muscles, nerfs et tendons qui représentent la grosse part du gâteau. Surtout que les travailleurs tardent souvent à se plaindre eux-même de leur mauvaise posture de travail, positionnement, équipements, etc. de peur de déplaire à leurs supérieurs. Ils tentent plutôt de se médicamenter/soigner eux-mêmes et ne feront connaître l'aggravation de leur état que lorsqu'ils ne seront plus en mesure de réaliser leurs tâches quotidiennes.
La science de l'ergonomie au travail peut éliminer la quasi-totalité des TMS (c'est-à-dire les "Troubles Musculo-Squelettiques) avec des outils de collecte, d'analyse et d'interprétation de données. Les ergonomes incitent ainsi les compagnies à se doter d'un logiciel de sécurité au travail qui repère rapidement quels sont les risques ergonomiques et qui permet de bâtir une précieuse base de données qui se bonifie avec le temps. Ils disposent ensuite de beaucoup de matériel pour mieux organiser vos aires de travail, la disposition et le réglage de vos équipements et le positionnement de votre personnel.
Parmi les troubles méconnus et les moins souvents abordés: la fatigue occulaire. Une disposition déficiente des leviers, manivelles, rails, convoyeurs, sièges, indicateurs, boutons et panneaux de contrôle a pour effet de fatiguer la vision du travailleur et de l'exposer à commettre des erreurs et à se fatiguer plus rapidement. Cela se traduit par conséquent en une perte de productivité. De plus, devoir travailler en situation de déficit d'énergie favorise une baisse du moral et de la motivation. Un logiciel d'analyse de poste de travail peut identifier les points de friction/fatigue au niveau de la vision en calculant les angles optimaux et les distances idéales. Les zones de danger peuvent ainsi être identifiées. Parfois, de simples corrections de quelques centimètres font une grand différence. Une main-d'oeuvre moins fatiguée sera plus prompte et encline à manifester une engagement élevé à l'intérieur des murs de votre usine, laboratoire ou atelier de fabrication.
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